Dan Photographie
Capturer la beauté du monde qui m'entoure
Le 11 Juin 2024, LE FAUCON CRÉCERELLE, Couvée dans le creux d’un vieux bâtiment, j’ai pu remarquer 3 Crécerelles.
Le 14 Mai 2024, Parc Ornithologique d’Oléron,
LE FAUCON CRECERELLE, De la taille d’un gros pigeon, le Faucon crécerelle a un manteau roux tacheté de noir, avec le bout des ailes noirâtre, tandis que le dessous des ailes et le poitrail sont de couleur crème moucheté de noir. L’espèce présente un dimorphisme sexuel inversé : la femelle adulte est plus grande que le mâle d’environ 20 %, avec la tête et la queue de couleur brune striée de noir, tandis que le mâle adulte a la tête gris-bleu avec la queue grise. Les juvéniles ressemblent à la femelle adulte. Sa silhouette en vol est caractéristique, avec ses ailes longues, étroites et pointues, et son vol stationnaire dit « en Saint-Esprit » est une observation fréquente en bord de route.
LE COLVERT, Le mâle des populations sauvages est aisément reconnaissable, pendant la période nuptiale, par sa tête d’un vert brillant (d’où son nom). Le reste du plumage est gris-brun à blanc, avec un miroir alaire bleu-violet ; le bec est jaune. Après la période nuptiale, à l’approche de l’été, il mue et prend son plumage éclipse (de couleur beige semblable à celui des juvéniles et des femelles) et perd ses rémiges2. Il vit alors dans les roseaux et les hautes herbes. Un à deux mois plus tard environ, le mâle reprend son plumage nuptial.
Le 18 Avril 2024, Étang du Grand VOYEUX Sud-Est de la région Parissienne,
La Gorgebleue à MIROIR, aussi orthographié Gorge-bleue, est une espèce de passereaux appartenant à la famille des Muscicapidae. Il existe de nombreuses sous-espèces, mais seules trois d’entre elles sont présentes en Europe, et se distinguent aux couleurs de leur gorge. Une seule espèces en France 7 couples seulement. Tenue nuptiale du Mâle.
Le 03 Avril 2024, Parc de Fontenay-le-Vicomte.
La highland, une vache aux poils longs,
C’est dans le nord de l’Écosse, dans les Highlands, que l’on trouve cette vache à poils longs pourvue de grandes cornes. Très apprécié pour sa viande au goût persillé, cet animal rustique est capable de supporter un climat très rude, ce qui en fait la seule vache capable de survivre dans les Highlands. Enfin une débroussailleuse qui ne tombe jamais en panne. trop de roseaux : ils ferment le milieu, empêchent les autres plantes de pousser, et même les oiseaux ne pouvaient pas y aller, des paire de cornes émerge d’un buisson. La bête rousse qui en sort d’un pas tranquille, museau au vent, frappe par son look préhistorique : une toison dense et longue qui lui recouvre les yeux et pend le long de ses flancs, un corps petit et massif, et ces deux pointes démesurées qui s’étirent de chaque côté de la tête avant de s’élancer vers le ciel gris. La vache Highland Cattle, originaire d’Écosse, est en ESSONNE comme chez elle. Les pieds dans l’eau. Il n’y a rien à faire, on les met au printemps, on les récupère en automne. Mais il y a quand même le côté social : il faut aller les voir régulièrement et leur parler pour les habituer à nous. Pas farouches, les quatre herbivores s’approchent de leur propriétaire, poussées par la perspective d’un morceau de pain sec, et indifférentes à la pluie fine qui s’abat sur elles. le propriétaire fait l’inventaire consciencieux des avantages de la bête : Son sabot est aussi gros que celui des autres races de vache, mais elle est deux fois moins grande ; c’est parfait pour les zones humides. Et malgré ses cornes, elle manœuvre sans soucis dans les fourrés. Loin de boucher la vue, la frange trop longue évite d’avoir des mouches dans les yeux en été (un point non négligeable dans cette zone marécageuse). Mais l’atout numéro un de la highland, c’est sa capacité à manger tout ce que les autres herbivores dédaignent. Roseaux, mais aussi ronciers, chardons et pousses d’arbres sont indifféremment engloutis, mâchés, ruminés.
(Little egret – Egretta garzetta) Comme beaucoup de hérons et de butors, elle est présente sur tous les continents. On la distingue des autres aigrettes, plus grande, grâce à ses doigts jaunes, on peut la voir en compagnie des Aigrettes garde-boeufs parmi les buffles.
Aigrette venu dans les terres pour se nourrir , réaliser Nikon Z 8, zoom Z 180-600mm.
Mouettes tachetées, réaliser Nikon Z 8, Nikkor zoom 180-600mm
Héron Cendré; réaliser avec Nikon Z 8, Zoom Sigma 150-600mm, Speed 1/250, f 6,3, iso 100.
Le cerf Élaphe est un grand cervidé des forêts tempérées d’Europe. Son nom est un pléonasme, car « élaphe » signifie déjà « cerf » en grec. Ce cerf est l’un des représentants les plus connus de cette famille de mammifères.
Sauterelle verte de chez nous,
La sauterelle verte est principalement carnivore. Son régime alimentaire est composé de pucerons, de mouches, de chenilles et même de larves de doryphores dont elle consomme parfois l’adulte, ce qui en fait un des rares prédateurs de cette espèce exotique envahissante.
LE LION d’Afrique,
Vivant en groupe, le lion est loin d’être fainéant et possède un rôle essentiel : il protège le territoire, donc sa famille, des prédateurs et concurrents. Les lionnes du même clan sont souvent apparentées.
Symbole de l’Afrique et de la savane, le lion est pourtant loin d’être suffisamment protégé. La population totale a chuté de 40% ces vingt dernières années. Il ne resterait que 20 000 lions en Afrique ! La cohabitation entre humains et grands prédateurs reste délicate.
LE LÉOPARD de JAVA (Indonésie)
Le LÉOPARD (Panthera pardus) est un félin intrépide qui, bien qu’il ne soit pas le plus grand de ce groupe d’animaux, surprend par la puissance de ses mâchoires et la solidité de ses pattes, qui lui permettent de capturer des animaux bien plus gros que lui. Bien que cela n’ait pas été chose aisée, le léopard est répartie entre les continents africain et asiatique, qui, bien que présentant certaines caractéristiques communes, se différencient par leur génotype et certaines caractéristiques physiques.
Sa couleur est dorée, rarement jaune pâle, et c’est l’une des sous-espèces qui présente le plus fréquemment le mélanisme, une mutation génétique récessive qui augmente considérablement la production de mélanine chez l’individu, et comme celle-ci est responsable de l’assombrissement de la peau, elle donne alors naissance à des léopards totalement noirs. Cette condition est devenue un avantage pour les individus vivant dans les zones boisées et humides car elle les aide à se camoufler et à thermoréguler. Malgré la forme sombre de la fourrure, ces individus, lorsqu’on les observe de près, peuvent être distingués par les rosettes noires qui sont caractéristiques des différents types de léopards.